Le Droid X2 de Motorola doublement dévoilé sur le Web

Le successeur du Droid X devrait embarquer un processeur double-cœur de nVidia, 1 Go de mémoire vive mais faire l’impasse sur la 4G. Sortie prévue lors du second semestre 2011.

Le site Mobizone a publié des photos et les spécifications de ce qui pourrait être une des grandes attractions en matière de Smartphone Android ces prochaines semaines, le Droid X2 de Motorola. L’article a depuis été retiré mais une version en cache subsiste (malheureusement sans les photos, qu’on retrouve sur MobileCrunch). On y apprend que ce téléphone ne sera pas LTE, juste 3G, mais qu’il embarquera une puce double-cœur Tegra 2 de nVidia à 1 GHz, une caméra 8 millions de pixels et un écran en définition 960 par 540 points. Il devrait aussi disposer d’une radio FM et utiliserait Android 2.2 comme système d’exploitation, voire Android 2.3.

De son coté, Engadget avance que le Droid X2 ne disposerait que d’une puce simple cœur à 1,2 GHz et que la définition de son écran 4,3 pouces plafonnerait à 854 par 480 points. Il faudra attendre sa sortie, prévue pour le second trimestre, ou au moins son annonce officielle par Motorola pour savoir qui de ces deux sites à raison. (EP)

iSwish transpose l'interface de l'iPhone dans Windows Mobile

La société Flick Software Research fait la démonstration d'un logiciel pour des appareils fonctionnant sous Windows Mobile, permettant de reproduire l'interface de l'iPhone. Même le multi-touch est imité avec brio.

Comme souvent une vidéo vaut plus que des milliers de mots.

L'éditeur Flick Software Research a mis en ligne une vidéo mettant en scène son prochain logiciel, iSwish. Attendu courant mai en version bêta, ce logiciel transforme n'importe quel appareil sous Windows Mobile en un iPhone. On exagère à peine puisqu'en fait, iSwish transpose l'interface du téléphone Apple dans Windows Mobile avec la page d'accueil où l'on peut déplacer et faire glisser les icônes à l'aide du doigt.

Ce logiciel reprend également, quasi à l'identique, le procédé de défilement dans ses images ou fichiers musicaux.

Mais iSwish ne s'arrête pas là puisque ses développeurs ont tenté de reproduire le procédé "multi-touch" qui permet de zoomer sur une photo en la pinçant avec deux doigts. Techniquement, c'est impossible puisque les écrans des appareils Windows Mobile ne supportent pas le "multi-touch". Et pourtant, la démonstration de leur fonction iZoom est très convaincante.

Télécharger la version pré-alpha de Firefox Mobile pour Android 2.0

Connu sous le nom de code Fennec, la version mobile de Firefox Mobile n'est toujours pas disponible en version bêta. Une vidéo postée sur Internet en dévoile tout de même quelques améliorations.

Un peu moins d’un mois après que Mozilla a proposé une version pré-alpha de son navigateur Fennec pour Android, le développement de ce navigateur mobile se poursuit avec une nouvelle version pré-alpha dénichée par le site Mobiputing.

Vidéo à l'appui, on découvre que le chargement des pages est plus rapide, et que l'interface générale est plus réactive. Cependant, on est encore loin de la version finalisée avec un manque de stabilité évident.

Autre nouveautés : une nouvelle page d'accueil, ainsi qu'un accès rapide aux dernières pages fréquentées. Côté standard, Firefox Mobile obtient une meilleure note au test Acid3 que le navigateur par défaut d'Android. Notez que le système de zoom reste basique, et qu'on attend toujours la possibilité de zoomer avec deux doigts. Mais la fonction serait en développement et prochainement ajoutée.

Pour ceux qui souhaiteraient installer cette version, il faut se rendre sur cette page et copier le fichier fennec.apk sur son smartphone Android. Ensuite, il faut lancer l'installation depuis le téléphone. (EP)

La vidéo

La Kindle Fire HD 7 pouces et la lecture

L‘équipe du site GoodReader s’est penchée sur la Kindle Fire HD 7 pouces, et a testé ses compétences en lecture. Magazines, journaux, PDF, BD...on fait le point sur les capacités de la tablette dans ce domaine.

Magazines : de l’innovation

Lire des magazines est une des pratiques de lecture numérique les plus répandues, mais pas les plus confortables en général, à cause de formats mal adaptés. La bonne surprise de la nouvelle tablette vient de ce côté, avec des magazines équipés de pages qui tournent agréables, d'images HD, des couleurs très riches, mais surtout de fonctionnalités que l’on trouvait d’habitude pour les ebooks.

Il est ainsi possible de cliquer sur du texte, et de passer dans un mode “ebook”, dans lequel on retrouve non seulement le confort de lecture d’un ebook, mais aussi les options de mise en pages, ou encore de surlignage, dictionnaire, recherche, etc...

Lecture de journaux : passage par les applications de lecture

Si l’innovation est au rendez-vous pour les magazines, le test réalisé ici montre que pour l’instant au moins, Amazon passe par les applications des éditeurs de presse pour les journaux. Même si ces derniers sont bien rangés les uns à côté des autres, ce sont finalement les applications des éditeurs qui sont proposées.

Si cela n'est pas un problème en soi, il n’y a donc pas à première vue de mise en pages ou de fonctionnalité spécifique proposée par Amazon, chaque éditeur proposant sa propre expérience.

Les ebooks : maintenant avec la voix

Pours les ebooks, rien de vraiment nouveau. On retrouve ce qui a fait le succès de l'application Kindle sur les différents App Store, à savoir simplicité et efficacité. Mais l'intéressant est dans la possibilité de réunir ebooks et audiolivres désormais. Comme le montre le test effectué ici, les fonctionnalités sont bien en place, et permettent soit d’entendre le texte en même temps qu’on le lit, soit de passer de l’un à l’autre en reprenant là où on s’est arrêté. Pour plus d’informations sur ces fonctionnalités, je vous renvoie à "Audiolivre et ebook : la nouvelle stratégie d'Amazon".

Autre point soulevé par le site Good eReader : l’App Store d’Amazon est particulièrement fermé sur lui-même en ce qui concerne les applications de lecture. Kobo ou Nook par exemple n’ont pas pu y proposer leurs applications de lecture.

Fichiers PDF : correct, mais pour des PDF “légers”

Le test effectué par le site Good eReader montre que les fichiers PDF sont bien pris en charge, faciles à zoomer, mais qu’il n’y a pas d’originalité particulière. Amazon ne révolutionne pas non plus les solutions de lecture de ce format, ce qui ne manquerait pourtant pas d'intérêt avec un écran de seulement 7 pouces. On aurait adoré la même fonctionnalité que pour les magazines, pour pouvoir ainsi enfin lire confortablement le texte d'un fichier PDF...

Mais le site pointe du doigt un autre “petit” défaut : les gros fichiers bloquent. On peut penser qu’une mise à jour viendra certainement résoudre le problème, mais pour l’instant, les gros fichiers sont compliqués à lire.

La BD, avec "Guided View"

Pour lire des BD, vous aurez la possibilité de profiter du système Guided view, du moins si vous achetez dans le magasin Amazon. On aperçoit aussi dans la vidéo que le système X-Ray, qui donne des informations sur la lecture en cours, est aussi intégré dans les BD.

Le système Guided view reprend le principe qui a fait le succès de certaines applications de BD sur tablettes, en permettant de passer d’une vignette à l’autre, qui passe alors en plein écran, et permet de lire plus confortablement une vignette, avant une autre, etc...

Et sur un écran 7 pouces, cette fonctionnalité n’est pas un gadget, car le zoom avec les doigts devient vite lassant. Comme on le voit dans la vidéo d’ailleurs, le zoom n’est d'ailleurs pas possible sur la BD testée pour l’occasion.

En conclusion

La tablette fait plutôt bonne impression dans le domaine de la lecture numérique. L’écran haute définition semble idéal pour les usages cités ci-dessus, et les innovations d’Amazon sont plutôt nombreuses, et concernant aussi bien les magazines que les ebooks ou la BD, à condition d'acheter sur le magasin d'Amazon. Reste quelques petits défauts avec les fichiers PDF les plus lourds, la prise en charge du PDF qui n'a rien de très original.

On trouvera certainement plus gênante l'offre limitée d'applications concurrentes, qui limitent les achats au seul catalogue Amazon ou presque. La question est d'autant plus importante en France, où on ne sait pas exactement sur quel contenu on pourra compter réellement, et si toutes les fonctionnalités seront disponibles.

Du côté de la concurrence, Google et sa Nexus 7 sont peut-être les mieux positionnés pour se battre dans ce domaine, car les fonctionnalités de lecture de cette dernière sont tout aussi innovantes, au moins en ce qui concerne les magazines, et que Google a aussi de quoi proposer une offre de contenus solide. 

La vidéo de plus de 16 minutes en Anglais...

Des images officielles des Sony Xperia Z « Yuga » et ZL « Odin »

Sony devrait profiter du Consumer Electronic Show pour présenter deux nouveaux smartphones Xperia équipés d’un écran 5 pouces 1080p. Ces Xperia Z et ZL sont déjà visibles sur le Web.

A quelques jours de l’ouverture du Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas, Sony a laissé filtrer des photos officielles de deux nouveaux smartphones Xperia que l’on devrait découvrir d’ici peu. Il s’agit des Xperia Z et ZL, deux modèles sous Android pourvus d’un écran 5 pouces full HD 1080p.

Le Xperia Z correspond au « Yuga », du nom de code du modèle que nous avons déjà évoqué il y a quelques semaines. Le ZL serait quant à lui le smartphone jusqu’ici connu sous le nom de code « Odin ».

L’un comme l’autre embarqueraient une puce Qualcomm Snapdragon S4 quadruple cœur à 1,5 GHz, 2 Go de mémoire vive et un capteur photo Exmor RS de 13 mégapixels. La seule différence entre ces deux Xperia est que le Z offre un design plus fin et allongé que le ZL qui est moins haut et plus large. Des informations que nous pourrons vérifier d’ici quelques jours lors du CES. (EP)

iPhone 5 Apple moins dépendant de Samsung pour les processeurs et mémoires

La guerre des brevets entre les deux géants se poursuit dans les usines puisque Apple a décidé de limiter ses commandes de mémoires à Samsung, pourtant son partenaire de toujours, pour le prochaine iPhone.

En guerre devant les tribunaux au sujet de brevets liés au design et aux fonctions de leurs smartphones et tablettes, Apple et Samsung sont en revanche de solides partenaires lorsqu’il s’agit de trouver des accords commerciaux pour la conception et la livraison de processeurs et de puces mémoire pour les iPhone et iPad.

Mais selon Reuters, cette bagarre juridique aurait laissé des traces puisque Apple a décidé de limiter sa dépendance vis-à-vis de Samsung. Ainsi, les commandes de mémoires DRAM et NAND pour le prochain iPhone seront désormais aussi confiées à Toshiba, Elpida Memory et SK Hynix.

Côté processeurs, Samsung est encore sous contrat avec la livraison de la puce A6 mais il faut rappeler qu’Apple a récemment tenté de s’offrir pour un milliard de dollars l’exclusivité du fondeur TSMC. Sans doute pour s’éloigner encore davantage de Samsung. (EP)

L'Android Market contient près de 30000 applications

Le nombre d’applications disponibles pour les smartphones Android ne cesse de croître. L'Android Market approche les 30 000 titres.

Même s’il est encore bien loin de venir chatouiller Apple et son App Store avec ses quelque 160 000 applications, Android Market est sans conteste la plateforme qui a connu la plus forte croissance, ces derniers temps. Selon les derniers chiffres rapportés par AndroidLib.com, 9330 applications ont été ajoutées sur le seul mois de mars. Actuellement, l’Android Market aurait dépassé les 27 000 applications (gratuites et payantes confondues), selon d’autres chiffres fournis par Distimo.

Depuis son lancement, en octobre 2008, la place de de marché d’Android a grandi progressivement pour dépasser les 20 000 applications un an plus tard. Mais l’on constate que le rythme s’est nettement accéléré depuis le début de l’année. Ce qui est certainement lié avec l’arrivée massive de terminaux Android chez presque tous les fabricants. S’il n’est vraiment pas sûr que l’Android Market puisse un jour dépasser l’App Store d’Apple, il s’impose déjà comme le numéro deux incontournable pour tous les développeurs. (Eureka Presse)

Pratique : Comment ajouter ou supprimer des applis Android et widgets de l'écran d'accueil

iPhone une page web piégée suffit pour dérober des informations à distance

Des experts en sécurité se sont penchés sur l’iPhone peu après sa sortie aux Etats-Unis afin de découvrir comment dérober des informations à distance sur ce téléphone. Pari réussi.

Deux semaines leurs auront suffi à déterminer comment dérober à distance des informations stockées sur l’iPhone. Des experts de Independent Security Evaluator, une société spécialisée dans la détection de failles de sécurité, se sont penchés sur l’hybride baladeur/téléphone d’Apple peu après sa sortie aux Etats-Unis le 29 juin dernier.

Résultat : au bout de 2 semaines, ils l'ont découvert. Il suffit d'exploiter une faille découverte, la première, sur le navigateur Safari installé sur l'Iphone et le forcer à ouvrir une page web piégée à l'aide d'un code malicieux. Ce dernier est conçu pour dérober des informations personnelles, tels que le carnet d’adresses ou l’historique des appels. Et tous les coups sont permis ! Le pirate pourra utiliser un point d’accès Wi-Fi pirate et forcer l’affichage de la page web par exemple. Ou encore, il pourra poster un message sur un forum de discussion, message intégrant ce code malveillant. Plus simplement, il transmettra l’adresse de la page web piégée par email ou SMS. Bienveillants, ces experts en sécurité ont non seulement alerté Apple de la faille découverte, mais ils lui ont également fourni le correctif ad hoc. Un porte-parole d’Apple aux Etats-Unis a confirmé que la firme à la pomme se penchait bel et bien  sur cette brèche de sécurité, selon le New York Times.


Voir aussi :

Notre page spéciale iPhone

Le test de l'iPhone

CES 2010 - Le Marvell Armada 610 processeur mobile concurrent du Snapdragon de Qualcomm

Marvell présentera au CES sa nouvelle puce 1 GHz pour appareil mobile destinée à concurrencer le désormais bien installé Snapdragon de Qualcomm.

Si aujourd’hui le processeur Snapdragon de Qualcomm, qui peut être cadencé jusqu’à 1 GHz, semble être la nouvelle référence pour les smartphones et les petits appareils mobiles, la concurrence ne compte pas se laisser distancer sans réagir. Ainsi, après ARM, le numéro un du secteur, et son Cortex A5, après ZiiLabs et son ZMS-08, après même Samsung qui compte développer sa propre puce mobile, c’est au tour de Marvell de présenter la nouvelle puce qui devra l’affronter.

Son Armada 610, qui se veut de « la classe gigahertz » et s'appuie sur une architecture ARM, doit être capable d’encoder et décoder les vidéos HD 1080p et d’afficher des images de 2 000 x 2 000 pixels. Pas très utile avec un smartphone ou un netbook, à moins d’utiliser un pico-projecteur. Toujours est-il que ce processeur sera également compatible avec la technologie Open GL ES 2.0 et donc capable de supporter les jeux 3D afin de transformer son smartphone en console portable. Marvell ne donne pas de chiffre mais indique comme il se doit que l’Armada 610 sera un faible consommateur d’énergie.

Comme souvent dans ces cas là, il n’y a qu’une fois installé dans un véritable appareil qu’on saura exactement ce qu’il en est. Les premiers smartphones, MID ou lecteurs de livres électroniques intégrant ce processeur ne devraient pas tarder à être disponibles, Marvell comptant effectuer quelques démonstrations cette semaine lors du salon CES de Las Vegas. (EP)

Suivez toute l'actualité du CES 2010

Google Music lancement imminent aux Etats-Unis

Le géant de la recherche devrait profiter de sa conférence annuelle I/O pour introduire Google Music qui permettra aux usagers de stocker leur musique personnelle pour pouvoir l’écouter en streaming sur un ordinateur, une tablette ou un smartphone Android.

Google se prépare à dévoiler aujourd’hui son service d’écoute de musique en streaming, Google Music. D’après les informations rapportées par le New York Times, il sera lancé en version bêta à l’occasion de la conférence annuelle Google I/O et devrait dans un premier temps être réservé aux États-Unis. Le service permettra aux usagers de stocker gratuitement en ligne leur musique personnelle (jusqu’à 20 000 morceaux) pour pouvoir l’écouter depuis n’importe quel navigateur Internet d’un ordinateur classique mais aussi un smartphone ou une tablette Android. Un système qui serait très proche de celui lancé par Amazon fin mars. Car, comme le géant du e-commerce, Google s’affranchirait d’accords de licence avec les labels musicaux.

Après de longs mois de négociations, la firme de Mountain View et les majors ne seraient pas parvenu à s’entendre. « Quelques-uns des principaux labels se sont montrés moins préoccupés par la vision innovante que nous proposons et plus intéressés par des conditions commerciales déraisonnables et non durables », a déploré Jamie Rosenberg, responsable des contenus numérique pour la plateforme Android cité par All Things Digital. De ce fait, Google Music ne devrait pas inclure la vente de musique.

Selon les dernières rumeurs, Apple, qui se prépare aussi à dévoiler un service de musique similaire, aurait réussi à conclure des accords de licence avec aux moins deux des principales majors. (EP)

Google Music lancement imminent aux Etats-Unis

Le géant de la recherche devrait profiter de sa conférence annuelle I/O pour introduire Google Music qui permettra aux usagers de stocker leur musique personnelle pour pouvoir l’écouter en streaming sur un ordinateur, une tablette ou un smartphone Android.

Google se prépare à dévoiler aujourd’hui son service d’écoute de musique en streaming, Google Music. D’après les informations rapportées par le New York Times, il sera lancé en version bêta à l’occasion de la conférence annuelle Google I/O et devrait dans un premier temps être réservé aux États-Unis. Le service permettra aux usagers de stocker gratuitement en ligne leur musique personnelle (jusqu’à 20 000 morceaux) pour pouvoir l’écouter depuis n’importe quel navigateur Internet d’un ordinateur classique mais aussi un smartphone ou une tablette Android. Un système qui serait très proche de celui lancé par Amazon fin mars. Car, comme le géant du e-commerce, Google s’affranchirait d’accords de licence avec les labels musicaux.

Après de longs mois de négociations, la firme de Mountain View et les majors ne seraient pas parvenu à s’entendre. « Quelques-uns des principaux labels se sont montrés moins préoccupés par la vision innovante que nous proposons et plus intéressés par des conditions commerciales déraisonnables et non durables », a déploré Jamie Rosenberg, responsable des contenus numérique pour la plateforme Android cité par All Things Digital. De ce fait, Google Music ne devrait pas inclure la vente de musique.

Selon les dernières rumeurs, Apple, qui se prépare aussi à dévoiler un service de musique similaire, aurait réussi à conclure des accords de licence avec aux moins deux des principales majors. (EP)

Guerre des brevets Google se pose en victime

La part de marché d’Android sur les Smartphones, 48% au niveau mondial crée des envieux. Selon Google, les coalitions Microsoft et Apple organisées autour de brevets et royalties seraient des freins à l’innovation et au développement d’Android.

La guerre des brevets fait rage depuis le début de l’année chez les acteurs du marché de la mobilité. À côté des griefs entre les constructeurs Apple vs HTC, Apple vs Samsung, vs Nokia, le géant de la recherche en remet une couche par l’intermédiaire de David Drummond, vice-président et directeur juridique chez Google.
Sur le blog officiel de Google, le David Drummond évoque les véritables motivations de la guerre des brevets engagées selon lui contre la firme de mountain view.

Android plombé par les royalties ?
En substance, ces brevets permettraient à Microsoft et Apple de rendre moins compétitif ou attractif Android ( qui représente désormais prés de 50 % de PDM sur le smartphone au niveau mondial ) en augmentant son coût d’intégration. Comme nous l’indiquait en février dernier le DG France de la division mobilité de Microsoft, Android n’est effectivement pas gratuit. Une marotte chère à Microsoft et qui, par l’intermédiaire de brevets lui appartenant, touche des royalties pour chaque terminal HTC sous Android vendu.

Un frein pour l’innovation ?
Plombé par des royalties à verser, Android serait moins compétitif et les terminaux animés par l’OS de Google deviendraient plus chers. Ce serait la motivation principale de l’alliance des frères ennemie Apple et Microsoft selon Google.
Un recourt juridique préjudiciable également pour l’innovation comme l’indiquait déjà Google dans l’affaire Apple contre HTC. Une situation résumée par David Drummond : « Les brevets ont été créés pour encourager l'innovation, mais récemment, ils sont devenus la meilleure arme pour la stopper ».

Mouvais joueur Google ?
Une analyse plutôt manichéenne pour un Google qui se place en victime. Cette position certes fédératrice auprès du grand public pourrait bien se retourner contre le géant de la recherche. Et la première réaction n’a pas tardé. Microsoft et Brad Smith pointent le manque d’honnêteté de Google.

Car c’est bien l’achat des brevets Nortel et Novell par des consortiums de constructeurs concurrents ( dont font partie Microsoft, Apple, Nokia, RIM, Oracle ) qui semble rester en travers de la gorge du géant de la recherche. Un Google qui s’était battu seul contre tous pour obtenir la propriété exclusive de ces brevets… Une posture déjà moins flatteuse.

Brad  Smith précise d’ailleurs à travers un tweet « Google dit que nous avons acheté les brevets Novell pour les empêcher d’aller chez Google. Vraiment ? Nous leur avons demandé d’enchérir avec nous. Ils ont dit non ». Alors, mauvais joueur Google ?

CES 2013 ZTE Grand S, la prise en main vidéo

ZTE cède également à la tendance 5 pouces et plus et dévoile son Grand S, une machine quad core, 4G et Full HD. En attendant le test du ZTE Grand S voici une prise en main en vidéo…

Le fabricant chinois l’avait annoncé fin décembre, ZTE vient de dévoilé au CES 2013 son smartphone 5 pouces, le ZTE Grand S.

Le 4e fabriquant de Smartphone au monde au dépend d'HTC monte en gamme et entend se bien déloger RIM de la 3e place du podium. A l’instar d’un Samsung, ZTE diversifie donc son offre et multiplie les formats avec désormais un 5 pouces.

Comme le Sony Xperia Z ou le Lenovo K900, cette dalle IPS profite d’une définition Full HD 1920 x 1080 pixels (441 PPI ) et d’un Qualcomm S4 Pro à 1.7 GHz épaulé par 2Go.
Annoncée avec une batterie de 2500 mAh, l’autonomie semble avoir été sacrifiée sur l’autel de la minceur, seulement 6.8 mm, mais une capacité qui passe à 1780 mAh.

L’autonomie risque fort de ne pas être de la fête, un Xperia Z adoptant la même configuration se voit doté d’une batterie de 2330 mAh.... À vérifier lors du prochain test du ZTE Grand S.

Le Grand S dispose d’un capteur de 13 mégapixels au dos épaulé par un flash LED et en façade, un 2 mégapixels capturant en Full HD, des caractéristiques communes au segment haut de gamme. La 4G est présente, les fréquences supportées n’ont pas encore été communiquées, reste donc à préciser s’il sera compatible avec les normes hexagonales.

Le ZTE Grand S sera disponible dans le courant du premier trimestre en Chine, pas d’info sur une disponibilité et un prix en Europe.

Du haut débit mobile signé Ericsson bientôt dans les portables Lenovo

L’équipementier suédois et le constructeur chinois viennent de signer un accord selon lequel une puce Ericsson pour le haut débit mobile équipera bientôt certain portables Lenovo. Ce choix de la technologie HSPA se fait au détriment du WiMAX.

Alors que tous les portables, même les plus minimalistes,sont équipés du Wi-Fi, les constructeurs penchent désormais vers d’autres typesde technologies pour assurer aux utilisateurs une connexion à Internet en toutlieu et au plus haut débit possible. Deux solutions s’affrontent : leWiMAX et la 3G.

Bien qu’annoncé par Asus pour une version évoluée de son EeePC, le WiMAX souffre du manque de déploiement de son réseau. Tout le contrairede la 3G/3G+, qui couvre désormais une bonne partie du territoire et estutilisée par de nombreux opérateurs en Europe. Pour confirmer que 2008 sera l’annéede la 3G dans les portables, Lenovo vient de conclure un accord avec l’équipementiersuédois Ericsson. Ce dernier fournira au troisième constructeur mondial unepuce HSPA pour ses portables ThinkPad, essentiellement destinés aux professionnels.

La technologie HSPA (High Speed Packet Access) combine leHSDPA (c'est-à-dire la 3G+) et le HSUPA (la 3G++, testée en ce moment parOrange et SFR à Lyon et à Nantes). Alors que le HSDPA se « contente »d’un débit montant (du téléphone vers le réseau) de 384 Kbits/s, le HSUPA va jusqu’à1,4 Mbits/s. Dans les deux cas, le débit descendant (du réseau vers letéléphone) est de 3,6 Mbits/s.

Les premiers portables Lenovo ThinkPad HSPA devraient voirle jour dans le courant de l’année. On ne sait pas encore si la carte SIM pouraccéder au haut débit mobile sera incluse dans une trappe du portable ou sielle se glissera dans une clé USB externe.

Des tablettes 7 et 12 pouces Windows RT chez HTC en 2013

D’abord exclu du marché par Microsoft, HTC retrouve finalement le droit de produire des tablettes sous Windows RT. Deux modèles de 12 et 7 pouces seraient en préparation pour le troisième trimestre 2013.

Microsoft aurait-il changé d’avis par rapport à HTC ? En juin dernier, on apprenait que la firme de Redmond ne souhaitait pas voir le constructeur taïwanais développer des tablettes sous Windows 8, faute d’expérience et de retombée commerciales potentielles suffisantes. Aujourd’hui, Bloomberg nous apprend que HTC serait tout de même en train de préparer deux tablettes ARM, qui devraient donc fonctionner sous Windows RT.

Il s’agirait d’un modèle 12 pouces classique et d’un modèle 7 pouces doté de capacité téléphoniques, une sorte de « tabphone » ou de « phablet » comme en propose Samsung avec sa gamme Galaxy Note. Il s’agirait de la première du genre fonctionnant avec la version ARM de Windows 8. L’idée est bien évidemment de concurrencer les Galaxy Note, mais aussi l’iPad mini, la Google Nexus 7 et la Kindle Fire. De son côté, la tablette 12 pouces affronterait directement l’iPad.

Les deux tablettes intégreraient un processeur Qualcomm et seraient commercialisées au cours du troisième trimestre 2013. Sans doute un peu tard et d’ici là, Microsoft devra avoir progressé au niveau des ventes de sa Surface pour imposer Windows RT sur des tablettes. Mais en ce sens, l’idée de multiplier finalement les partenaires est logique et Toshiba, lui aussi exclu du lot à la base, en profitera peut-être également.

Par contre, l’article de Bloomberg nous apprend que HTC a aussi travaillé sur une tablette à architecture x86 pour Windows 8 mais que ce projet a été abandonné car le produit aurait coûté trop cher au final (autour de 1 000 dollars). (EP)

Nokia « pourquoi Nokia Maps est le meilleur service »

Après Samsung et Motorola, c’est au tour de Nokia de comparer son service de géolocalisation par rapport à celui inclus dans iOS 6. L’infographie est éloquente.

Alors que les internautes continuent de se moquer de l’application Maps présente dans iOS 6, c’est au tour de Nokia de profiter de ce fiasco. Le fabricant finlandais a carrément posté un billet sur son blog officiel pour envoyer quelques piques à Apple, mais aussi Google…

« Contrairement à nos concurrents, qui financent leurs outils de géolocalisation par la publicité ou des accords de licence avec des tiers parties, nous possédons, élaborons et distribuons nos propres applications et plateformes. En d’autres termes, nous sommes parfaitement conscients que les cartes et les applications de géolocalisations doivent être exactes, de bonne qualité et accessibles depuis n’importe quel endroit. C’est ce que propose par défaut Nokia depuis 6 ans, et nous sommes aussi conscients que « plutôt bon » n’est pas suffisant ».

Sous ce paragraphe, une infographie qui compare le Nokia Lumia 920 avec Nokia Maps, avec le Samsung Galaxy S3 équipé de Google Maps, puis l’iPhone 5 avec Apple Maps. Nokia met ainsi en exergue le fait que son service fonctionne sans connexion, qu’il est disponible dans 110 pays pour la navigation. (EP)

La tablette Google Nexus 7 à 200 $ va-t-elle chambouler le marché

Véritable secret de polichinelle pour la presse, la tablette de Google se précise avec un prix et une date de sortie. La Google Nexus 7 Tablet serait commercialisée à partir de 200 $ courant juillet avec un équipement haut de gamme. La Nexus 7 va-t-elle enterrer les tablettes Android actuelles ?

Comme nous vous l’indiquions dans notre précédent CNETLive consacré aux tablettes Surface de Microsoft, Google devrait monopoliser les attentions lors de son Keynote avec la présentation de sa tablette Nexus 7.
Une tablette qui, comme nous le supposions, sera très proche de l’Asus 370T qui avait fait sensation au CES avec un prix d’appel de 250 $. Un tarif très agressif pour une tablette 7 pouces, écran IPS et animé par un Nvidia Tegra 3.

À partir de 200 $ ?
Alors que les tablettes Android ont bien du mal à séduire en raison d’un prix trop proche de l’iPad, d’une uniformisation matérielle et d’un écosystème qui a mis du temps à s’organiser (unification tardive des kiosques de contenu sous le Play Store), Google entendrait stimuler les ventes de tablettes avec un prix très agressif.

A l’instar de la Kindle Fire et de son modèle économique ambitieux, la Tablette Nexus 7 serait disponible courant juillet  à partir de 199 $ en version 8 Go et 249 $ pour 16 Go. Un stockage qui ne serait pas extensible selon nos confrères de Gizmodo Australie qui aurait mis la main sur les spécifications de la tablette Google.

Des spécifications haut de gamme
Si ce tarif correspond aujourd’hui à du low-cost, la tablette de Google fabriqué par Asus, présente elle des spécificités haut de gamme.

Écran IPS de 7 pouces (1280 x 800 pixels), solution Nvidia Tegra 3 à 1.3 Ghz, 1 Go de RAM, le NFC, GPS, Wi-Fi n, une unique caméra en façade ( 1.2 mégapixel) le tout animé par Android 4.1 Jelly Bean.
La tablette en version 8 Go pourrait être vendue en ligne via un Google Tab Store tandis que la version 16 Go serait écoulée via les distributeurs traditionnels.

Le juste prix pour une tablette

Avec un ticket d’entrée fixé à 200 euros, la Nexus Tablet devrait engendrer un véritable chamboulement sur le segment de la tablette.
Comment les tablettes proposées actuellement entre 200 et 250 euros, décevantes avec des écrans TN de mauvaise qualité, une faible définition ou une configuration matérielle obsolète pourront trouver preneur ?

L’effet TouchPad pourrait bien se reproduire à très grande échelle cette fois-ci et fixer à 200 / 250 euros le « juste prix » pour une tablette Android 7 pouces efficace et confortable.

Attendu depuis 2 ans, la baisse des prix devrait donc intervenir avec cette Nexus Tablet qui risque d’obliger la concurrence à revoir leur grille tarifaire ou leur proposition matérielle et/ou software pour se distinguer.

Promouvoir le contenu 

Reste à identifier le modèle économique qui sera adopté par Google. Pas ou peu marger sur le produit pour pousser l’adoption du contenu via le Play Store ? Un modèle initié par Amazon et qui pourrait également être adopté par Microsoft pour sa Surface RT qui permettrait de promouvoir Windows 8.

Après Apple et Microsoft, c’est au tour de Google de tracer la ligne directrice de sa stratégie 2012, ce Google I/O à suivre en direct sur CNET devrait être riche d’enseignement. 

Microsoft Surface prix et date de sortie dévoilés, 489 euros en ticket d’entrée

Les prix des Surface sont disponibles sur les Microsoft Store, dont la boutique française. Comptez 489 euros comme ticket d’entrée pour une Surface RT 32 Go. Côté disponibilité, les tablettes seront expédiées le 26 octobre...

Les prix de la tablette de Microsoft, Surface RT (pour la version de Windows 8 s’appuyant sur l’architecture ARM) se voient progressivement dévoilés sur les différents Microsoft Store.

Apparue quelques minutes sur le Store US et repérée par les fins limiers d’Engadget, la Surface RT est également en précommande sur les boutiques en ligne française et allemande .

Coté prix, comptez 489 euros pour la Surface RT de 32 Go de stockage sans le clavier Touch, 589 pour la version 32Go mais agrémentée de ce clavier/couverture et 694 pour la version 64 Go et clavier. A titre de comparaison, un nouvel iPad 32 Go est facturé 589 euros (sans clavier, donc), le prix d’une Surface RT à 489 € est donc plutôt attractif sur le papier.

Nous ne manquerons pas de comparer le nouvel iPad et ce Microsoft Surface RT.

Tegra 3, 2Go de RAM et 10.6 pouces

Les boutiques en ligne de Microsoft confirment également les caractéristiques techniques. La Microsoft Surface RT s’appuie sur une dalle 10.6 pouces (1366 x 768 pixels) au format 16 :9 et se satisfaisant de 5 points de reconnaissance tactile.

On trouve un Nvidia Tegra 3 ( T30 ) la fréquence n’est pas indiquée, elle pourrait s’établir autour des 1,5 GHz épaulée par 2 Go de RAM. Une configuration au niveau de la concurrence haut de gamme sous Android.
Pour étendre les 32 ou 64 Go, nous trouverons un emplacement pour carte microSD. Pas de connectivité 3G, la Surface RT proposera du Wi-Fi n, le Bluetooth 4.0, deux capteurs offrant du 720p, deux micros et deux haut-parleurs.

Pas de micro USB mais un port USB 2 classique et une sortie vidéo HDMI. Le pack office, élément qui pourrait être différenciant pour cette Surface sera bien de la partie en natif et exploitera idéalement le clavier. La Surface RT avance 676 grammes sur la balance et présente un encombrement de 274,7 x 172 x 9,3 mm

La Surface RT sera expédiée le 26 octobre pour une livraison annoncée le 30 « au plus tard »…

HTC Desire prise en main en images

Le HTC Desire est un Nexus One brandé HTC. Le HTC Desire est gratifié de la dernière version d’HTC Sense, dispose d’une souris optique et intègre en natif le multipoint et Flash 10. En attendant le test du HTC Desire, voici sa prise en main en images.

Les rumeurs indiquaient que le Nexus One version HTC prendrait le nom d'HTC Bravo. Finalement, ce sera HTC Desire. Pour se différencier du Nexus One, le HTC Desire capitalise sur la dernière version de la surcouche HTC Sense. Techniquement très proche du téléphone de Google, le HTC Desire repose sur un processeur Snapdragon de 1GHz épaulé par 576 Mo de mémoire RAM et 512 Mo de ROM. Une configuration solide pour faire tourner sans ralentissement Android 2.1.

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Le HTC Desire bénéficie d’une souris optique qui vient seconder l’écran tactile. Le HTC Desire profite du même écran capacitif que le téléphone de Google, un affichage AMOLED de 3,7 pouces ( 480 x 800 pixels).

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Le facteur de forme demeure identique au Nexus One, le HTC Desire avance des dimensions de 119 x 60 x 11,9 mm pour 135g. A noter que le système anti bruit du Nexus One basé sur deux micros est absent sur le HTC Desire.

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Le HTC Desire reçoit un traitement au téflon limitant les traces de doigts et offrant un toucher plus confortable. Avec une batterie de 1400 mAh, l’autonomie devrait être similaire au Nexus One, soit plus d’une journée d’utilisation intensive. Pour étendre la mémoire interne, on retrouve un slot microSD (jusqu’à 32 Go).

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Gros plan sur le capteur autofocus de 5 megapixels épaulé par un flash LED. Les rumeurs indiquaient que le HTC Desire était capable de capturer des séquences vidéo en HD 720p, une rumeur erronée. On retrouve les possibilités classiques de reconnaissances des visages, partages de photo et vidéo via Youtube, Picasa et le geotagging des clichés. Le HTC Desire resitue un son mono avec son unique haut-parleur.

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La nouvelle interface HTC Sense et le widget All Storie qui agrège les dernières news. L’écran du HTC Desire bénéficie de couleurs vives et contrastées grâce à la technologie AMOLED .

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Le widget Friend Stream implémente tous les réseaux sociaux directement depuis la page d’accueil. Il est possible d’envoyer des photos sur Facebook, Flick ou Twitter et de partager ses vidéos via Youtube.

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Le HTC Desire est animé par Android 2.1 épaulé par la nouvelle surcouche HTC Sense. Malgré l’ajout de cette surcouche, le HTC Desire est particulièrement rapide dans l’exécution des tâches et demeure très fluide. Un vrai régal pour les technophiles impatients.

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Le multipoint (multi touch, zoom à deux doigts) est implémenté en natif sur le HTC Desire est se montre pleinement fonctionnel dans le navigateur Web ou sur les photos. En pratique, le multipoint est précis et répond particulièrement bien aux effleurements du doigt. Bonne nouvelle, Flash 10 est bien intégré au HTC Desire. Nous vous proposerons prochainement un focus sur cette fonctionnalité.

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La surcouche HTC Sense offre de nouvelles possibilités dans le copier coller. Deux marqueurs permettent de sélectionner le texte à coller et l’intégration d’une loupe facilite cette opération. Une valeur ajoutée pour le HTC Desire !

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Une fois le texte sélectionné, on peut effectuer une recherche sur Wikipedia, l’intégrer dans un message, un mail ou sur Twitter.

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Ce puissant copier coller dispose également un outil de recherche sur le Web, sur Wikipedia ou Google Dictionary.

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Avec son écran capacitif confortable et réactif aux pressions du doigt, la saisie est confortable aussi bien en mode paysage que portrait. Le HTC Desire devrait être disponible chez SFR courant avril.

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BlackBerry nouveaux smartphones avec Blackberry 10 en 2013

Les deux prochains modèles, dont un avec un clavier physique, seront présentés en 2013 avec une grosse campagne soutenue par les opérateurs de téléphonie. Ils fonctionneront avec Blackberry 10.

Directeur du marketing chez RIM,  Frank Boulben a confirmé qu’il faudrait attendre 2013 pour voir les nouveaux Blackberry équipés du prometteur système d’exploitation Blackberry 10.

« Nous préférons laisser passer les fêtes de fin d’année pour en montrer plus. On a prévu d’en montrer plus sur Blackberry 10 (BB 10) dans les semaines à venir, mais nous attendrons le lancement des premiers appareils pour le dévoiler dans son ensemble », a-t-il expliqué en substance à nos confrères de cnet.com.  A priori, il y aura deux modèles de smartphones dont avec un clavier physique, et ils sont actuellement montrés aux différents opérateurs.

« Notre campagne de lancement sera massive car soutenue par les opérateurs. On leur a montré BB10 et ils ont adoré. Ils nous soutiennent » a-t-il précisé. (EP)

Samsung annonce le Galaxy S Advance

Ce nouveau smartphone Samsung intègre un écran de 4 pouces et Android 2.3. Le Galaxy S Advance se positionne en milieu de gamme.

Samsung a annoncé hier le lancement du Galaxy S Advance. Il s’agit d’un nouveau smartphone Android 2.3 de milieu de gamme dont la configuration le place entre le Galaxy S et le Galaxy S2.

 

Il est doté d’un écran 4 pouces Super AMOLED, d’un processeur double cœur 1 GHz, de 768 Mo de mémoire vive, d’une mémoire de stockage de 8 ou 16 Go (extensible par carte microSD), d’un capteur photo 5 mégapixels, d’une caméra frontale 1,3 mégapixels, d’un GPS et de connexions Bluetooth, Wi-Fi et USB 2.0. Dans son communiqué, Samsung n’évoque pas la possibilité d’une mise à jour vers Android 4.0.

Le Galaxy S Advance sortira d’abord en Russie en février puis dans la foulée en Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie, Chine et Amérique latine.  Le prix n’a pas encore été dévoilé. (EP)

Pas d’émulateur NES sur Windows Phone 7

Microsoft a refusé qu’un portage d’un émulateur de la console NES de Nintendo soit ajouté au Market Place destiné à Windows Phone 7. Le logiciel tourne pourtant plutôt bien sur un Samsung Focus et son auteur compte sur la communauté pour faire changer d’avis à Microsoft.

Microsoft ne veut visiblement pas d’émulateur sur sa plateforme mobile Windows Phone 7. L’éditeur de Redmond a en effet refusé l’admission sur le market place de WP7 à un logiciel permettant de jouer à des jeux pour la console NES de Nintendo (non fournis mais disponible sur le net sous forme de ROMs). D’après son auteur, Matt Bettcher, cet émulateur permet de jouer à 10-20 frames/secondes, ce qui est raisonnable et il a pu le tester avec succès sur un Samsung Focus (smartphone Samsung Windows Phone 7 disponible aux Etats-Unis, en France l'Omnia 7 est disponible).

Matt Bettcher compte bien faire changer d’avis Microsoft et pour cela a lancé un canal de soutien sur Youtube. Cela suffira-t-il à convaincre les dirigeants de Redmond ? Rien n’est moins sûr, ceux-ci misant beaucoup sur le jeu pour Windows Phone 7, mais de préférence ceux qu’ils proposent dans leur Market Place dédié. (EP)

 Tout savoir sur Windows Phone 7 : tests, prix, multitâche, applis, vos questions, nos réponses

Cydia, Mozilla et Skype soutiennent le droit au jailbreak de l’iPhone

Les trois compagnies soutiennent l’initiative de l’Electronic Frontier Fondation qui réclame un aménagement de la loi sur les droits d’auteur pour légaliser le déverrouillage de l’iPhone.

D’un simple affrontement entre développeurs frondeurs et Apple, le "jailbreak" de l’iPhone est en passe de devenir un combat pour les libertés individuelles. L’Electronic Frontier Fondation a mis le feu aux poudres en réclamant au bureau américain des droits d’auteur un aménagement du Digital Millennium Copyright Act pour autoriser la manipulation.

Cette loi triennale est actuellement en cours de renégociation. C’est elle qui fixe le cadre législatif de la propriété intellectuelle dans l’univers numérique. Apple est monté au créneau en affirmant pour la première fois que le fait de modifier l’iPhone ou l'iPod Touch pour installer des applications, qui ne sont pas disponibles via l’AppStore, constitue une infraction sur ses droits d’auteur. L’EFF a reçu plusieurs soutiens de poids comme Cydia, Mozilla et Skype. « Le choix est bon pour les utilisateurs et le choix ne devrait pas être criminalisé », déclare John Lilly, CEO de Mozilla. Bien entendu, ces trois firmes ont chacune un intérêt direct dans l’affaire.

Cydia propose un logiciel qui permet d’installer n’importe quelle application sur l’iPhone. Tandis que Mozilla voudrait pouvoir placer son navigateur Fennec. Idem pour Skype qui a fait une belle percée sur le marché des mobiles utilisant Android et s’est récemment associé à Nokia. (EP)

Android LiveCD son PC sur Android

Le système d’exploitation de Google n’anime pas uniquement les Google Phone, il peut aussi être utilisé sur n’importe quel PC grâce à l’Android Live CD.

En attendant l’arrivée de Chrome OS, il est possible de profiter du système d’exploitation mobile de Google, Android, sur son PC et ce, sans l’installer.
Il vous suffit de télécharger les fichiers .rar sur le site du projet, les décompresser afin d’obtenir un fichier iso (androidv0.1.iso) que vous graverez sur un CD. Il ne vous restera plus qu’à démarrer votre PC sur ce CD bootable, simplissime !
Pour ceux qui souhaiteraient l’utiliser sur un netbook, vous pouvez toujours lire l’iso avec les solutions de virtualisation que sont Microsoft Virtual PC ou Virtual Box par exemple.
Reste à identifier l’intérêt de faire tourner un OS mobile sur un PC…

Excite 13 Toshiba fait le pari d’une tablette 13 pouces !

Le fabricant japonais a officialisé l’arrivée de trois tablettes tactiles Excite sous Android, dont un modèle XXL à écran 13 pouces.

Chez Toshiba, on ne veut pas faire le choix entre 7 ou 10 pouces, et on voit même encore plus loin puisque le fabricant a annoncé le lancement de trois tablettes, dont un modèle inédit de 13 pouces capable d’afficher des images en 1600 x 900 points. Comme les deux autres tablettes (Excite 7 et Excite 10), l’Excite 13 fonctionnera sous Android 4.0, et sera disponible en juin pour un prix de départ de 650 dollars.

« Une taille d’écran ne convient pas à tous les usages et nous avons étudié avec attention comment les possesseurs de tablettes utilisaient leur appareil, tout en s’appliquant à proposer un design qui répond à tous les besoins », a expliqué Carl Pinto, vice-president  de Toshiba Amériques.

A ce prix-là, cette tablette de 1 centimètre d’épaisseur s’articule autour d’une puce quadruple cœur nVidia Tegra 3, de 1 Go de mémoire vive, de 32 Go de stockage. Côté équipement, un appareil photo de 5 mégapixels d’un côté, une webcam  2 mégapixels de l’autre. Pas de 3G mais uniquement du Wi-Fi, avec également un connecteur pour accueillir une carte SD, ainsi que des prises microUSB et microHDMI. Toshiba promet une autonomie d’environ 13 heures. (EP)

La nouvelle application Facebook pour Android en images

Facebook propose une nouvelle application dans l'Android Market avec la volonté de rendre plus rapide et plus simple la navigation.

Page de connexion de l'application Facebook sur Android

Facebook propose de découvrir les nouveautés de l'appli en 3 images. Sur la première on peut voir le nouvel emplacement des notifications.

Le bouton de l'appli permet d'accéder au menu latéral.

La recherche ne fait pas perdre la navigation en cours

Le menu général de l'application.

Le fil d'actualité avec les icônes de notifications en haut de l'interface de l'application Facebook.

Les membres du réseau social peuvent consulter leurs messages rapidement, sans quitter la page en cours.

Vue d'une photo, la légende apparait en haut, on peut commenter ou aimer l'image grâce aux boutons placés en dessous.

Comme pour toutes les applications fraichement sorties, la stabilité n'est pas encore au rendez-vous.

On s'y attendait suite aux rumeurs révélées par Engadget en début de semaine, Facebook a mis à disposition des utilisateurs Android une nouvelle application de connexion au réseau social.

Sur son blog, Facebook explique vouloir accélérer et faciliter la navigation au sein de l'appli. Les messages et notifications sont placées en haut de l'interface et accessibles sans quitter la vue en cours.



Un menu de navigation sur la gauche permet d'accéder au fil d'actualités, à ses messages ou encore à sa liste d'amis :



Selon Facebook, le chargement des photos a  été amélioré, il serait à présent jusqu'à deux fois plus rapide qu'auparavant. La vue d'une image laisse apparaitre la légende, les personnes taggées et offre la possibilité de commenter ou d'aimer.

Découvrez l'appli Facebook pour Android dans notre galerie d'images

Les Nokia Lumia 610 et 900 dévoilés au MWC 2012

D’après Reuters, Nokia dévoilera au salon MobileWorld Congress son Lumia 610, un modèle d’entrée de gamme, tandis que le Lumia 900 sera le nouveau fleuron de la gamme Windows Phone.

Nokia devrait venir au Mobile World Congress avec au moins deux nouveaux Windows. D’après les informations de Reuters, ce seront les Lumia 610 et Lumia 900 que Nokia dévoilera lundi lors de sa conférence de presse. Le Lumia 610 sera un modèle d’entrée de gamme avec un positionnement prix agressif. On ignore encore les détails de sa configuration.

Le Lumia 900 a déjà fait parler de lui lors du dernier Consumer Electronic Show. On sait qu’il possède un écran 4,3 pouces AMOLED, un capteur photo 8 mégapixels, 16 Go de stockage interne et une batterie longue durée. La version américaine supportera le réseau 4G, mais Reuters indique que Nokia devrait profiter du MWC pour présenter une version destinée aux autres marchés mondiaux. (EP)

Toute l'actualité du MWC 2012

Femtocell SFR serait le premier à se lancer en France

Certaines rumeurs affirment que SFR serait le premier opérateur français à déployer des femtocell. Cette technologie s’appuyant sur la connexion internet haut débit est considérée comme l’avenir de la téléphonie mobile.

Selon des informations révélées par le site Unstrung, l'opérateur français SFR pourrait débuter la commercialisation d’une offre utilisant la technologie femtocell dès septembre. Le femtocell est une technique utilisant une petite antenne cellulaire et une connexion Internet haut débit pour améliorer la couverture du réseau 3G à la maison. Cela prend la forme d’un boîtier installé chez l’utilisateur et relié à sa box ou son routeur haut débit. Les communications passent par le modem et non plus par les antennes relais.

L’intérêt du femtocell est multiple. D’abord pour l’opérateur qui peut ainsi améliorer et étendre son réseau à moindre frais et développer de nouveaux services. Pour les utilisateurs c’est un réseau plus performant, de nouveaux usages comme la télévision mobile et de nouveaux appareils tirant parti des capacités du haut débit. L’idée est également d’améliorer la convergence fixe/mobile et de concurrencer l’offre Unik d’Orange. SFR compte pour cela s’appuyer sur la base installée de Neuf Cegetel qu’il possède depuis peu. Avec plus de 3,3 millions d’abonnés, Neuf est le deuxième FAI du pays derrière Orange (avant que cela ne devienne le couple Free-Alice).

Plusieurs questions se posent cependant. Tout d’abord, combien SFR facturera-t-il ce service et sa mise en place ? Ensuite, l’opérateur partagera-t-il son réseau femtocell avec les autres opérateurs, à la manière d’une zone Wi-Fi, accessible à tous indépendamment des abonnements respectifs des utilisateurs ? Enfin, des questions de santé publique ne risquent-elles pas d’apparaître avec cette installation de mini antennes relais chez les particuliers ?